Les bourreaux meurent aussi: que faire de leurs corps?

De Mussolini à Slobodan Milosevic, d' Oussama Ben Laden à Saddam Husein ou encore Mouammar Kadhafi, les génocidaires, criminels de guerre, dictateurs ou agents du terrorisme international meurent aussi. Dans tous les cas, ces morts singulières posent des questions identiques: Que faire de leur dépouille? Comment appréhender leur héritage, la mémoire de leur personne et de leurs crimes? Est-il possible d'éviter le culte du bourreau?