Et si l’art permettait de soigner des maladies mentales comme la schizophrénie ?
Le tabou de l’inceste commence à s’étioler en France suite à la publication du livre de Camille Kouchner, qui dénonce les agressions incestueuses auxquelles se serait livré le politologue Olivier Duhamel. En Suisse, la parole peine encore à se libérer. Témoignages.
En 1943, le chimiste suisse Albert Hoffman découvre du diéthylamide de l’acide lysergique (LSD). Cette substance hallucinogène a donné lieu à de nombreuses recherches, notamment pour traiter des affections mentales… et ce n'est pas fini!
Bogdan Draganski est le directeur du Laboratoire de recherche en neuro-imagerie du Centre hospitalier universitaire vaudois (CHUV). Ce triathlète passionné par le fonctionnement du cerveau et lauréat du Prix scientifique 2018 de la fondation Leenaards.
Les œuvres d’art auraient une incidence positive ou négative sur le cerveau humain. Une équipe du CHUV s’est associée à un artiste pour comprendre et peut-être soigner certains troubles psychiatriques.
Sujet qui ressemble à de la science-fiction: lʹécriture des données informatiques sur de lʹADN. Les spécialistes estiment quʹun seul brin dʹADN est dix millions de fois plus dense, en termes d'informations, quʹun disque dur. Cette capacité pourrait répondre à la progression exponentielle des données générées par l'humain.
Les sept planètes rocheuses qui tournent autour de lʹétoile Trappist-1 sont étonnamment similaires. Cʹest ce que viennent de découvrir des chercheurs des Universités de Berne, de Zurich et de Genève (Unige). L'étude du plus grand groupe dʹexoplanètes connu pourrait permettre de comprendre comment des planètes semblables à la Terre, en apparence, pourraient fonctionner en dehors de notre système solaire.
Le port du masque de façon prolongée ne facilite pas la vie des adolescents. Nombreux sont ceux qui rencontrent une acné accrue autour de la bouche et autour du nez. Quels gestes dʹhygiène appliquer?
Six partis demandent au Conseil fédéral un contrôle aux frontières pour lutter contre la pandémie.
Un total de 42 déclarations d’effets indésirables présumés des vaccins contre le Covid-19 déjà autorisés en Suisse, la plupart bénins, ont été communiquées à Swissmedic. Examinées, elles ne modifient pas le rapport bénéfice/risque des vaccins, qui reste favorable.
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