Patrick Michel, médecin-chef du Centre cérébrovasculaire du Centre hospitalier universitaire vaudois est spécialiste des accidents vasculaires cérébraux (AVC), une affection qui frappe une personne toutes les trente minutes en Suisse, avec le plus souvent des séquelles importantes.
Quarante-cinq laboratoires sʹallient pour partager leurs données concernant lʹoptogénétique. Ce domaine de recherche utilise la lumière pour activer ou désactiver des neurones dans le cerveau. En partageant les résultats positifs et négatifs, les chercheurs souhaitent développer cette méthode encore expérimentale.
Prédire les périodes de crise épileptique de un à plusieurs jours à lʹavance, c'est la prouesse réalisée par des neurologues de lʹUniversité de Genève et de lʹHôpital universitaire de Berne. Il s'agit d'un enjeu majeur car lʹimprévisibilité de ces crises rend la vie des patients très compliquée voire dangereuse.
Après huit mois de coronavirus les gestes barrière sont entrés dans notre inconscient. Les nouveaux réflexes intriguent les neuroscientifiques.
Après de mois de pandémie, les théories du complot fleurissent sur internet. Les scientifiques en font les frais.
Débat entre Sami Zaïbi, journaliste infiltré dans la nébuleuse complotiste romande de Agora TV pour Heidi.news, Sylvie Briand, directrice du Département pandémie et épidémie de l'OMS et Sebastian Dieguez, chercheur au Laboratoire des Sciences Cognitives et Neurologiques de l'Université de Fribourg et auteur de « Total Bullshit: au coeur de la post-vérité ».
En Suisse, les campagnes de vaccination se poursuivent, avec le premier objectif de protéger les personnes vulnérables, afin de réduire le nombre de cas graves et de décès.
Des tests de masse se sont déroulés ce week-end dans le canton des Grisons. Les tests ont révélé environ 1% de cas positifs. "Ce petit chiffre, c'est un peu chercher une aiguille dans une botte de foin. C'est à peu près une personne sur 100, alors qu'on arrive à une personne sur sept avec le système habituel des gens symptomatiques. C'est une énorme énergie pour attraper très peu de gens, dont la plupart ne sont pas forcément infectieux car ils ont des toutes petites charges virales".
En pleine polémique politique entre la Confédération et les cantons sur de nouvelles mesures à prendre face à la situation pandémique, le professeur Didier Pittet replace le débat dans son cadre sanitaire. Gestes barrière et tests sont les seules options, dit-il.
Toucher du bois, ne pas dire que tout va bien de peur quʹun malheur ne survienne, croiser les doigts, ne pas souhaiter bonne chance… Sans quʹon le remarque, nous sommes toutes et tous sensibles à la superstition. Ou presque. Quel sont les fondements de ces croyances? En avons-nous conscience lorsque que nous les utilisons? Pourquoi la superstition a un effet sur nous?
Nous avons quelques questions à vous poser, pour comprendre les besoins de nos visiteurs. Ce court questionnaire prend moins de deux minutes. Votre participation nous aidera beaucoup !