Les personnes infectées par le coronavirus peuvent subir des séquelles durables qualifiées de «Covid-long». Autorités et médecins n’y ont pas encore accordé une grande attention et les malades se sentent souvent très seuls.
Des chercheurs lémaniques testent à Genève une application baptisée @choum. Elle vise à annoncer au plus vite l'apparition de symptômes d'infection au coronavirus, afin d'identifier des clusters pour briser les chaînes de transmission.
L’endroit où nous vivons influence notre santé bien plus que nous ne le croyons. Les facteurs de risque se regroupent dans certains quartiers bien précis. C’est ce que révèle la géomédecine, une nouvelle discipline qui élabore une santé publique de précision.
A la mi-avril, environ 27'000 personnes, sur les 500'000 que compte le canton de Genève, avaient déjà été exposées au Covid-19. Cette première estimation de la prévalence dans la population genevoise d'anticorps au nouveau coronavirus émane d'une étude des HUG.
Nous le savons, tous les porteurs du coronavirus ne montrent pas de symptômes. Et ces vecteurs invisibles seraient responsables de plus de la moitié des transmissions.
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