Les Suisses ont le goût du risque, un Suisse sur deux aurait déjà eu des rapports non-protégés.
Sensibilisation au paludisme en lien avec le changement climatique. Si le nombre de cas de malaria a globalement baissé de 45 % entre 2000 et 2015, la tendance est à nouveau à la hausse.
Moins d’une personne sur dix remplirait des directives anticipées pour spécifier le type de soins qu'elle aimerait recevoir, ou non, au cas où elle ne serait plus en mesure d'exprimer sa volonté. Des spécialistes réfléchissent à de nouvelles approches, notamment sous la forme d'un jeu de cartes.
La méthamphétamine est une drogue dure. Ses effets stimulants sont puissants, bien plus que ceux de la cocaïne et peuvent durer des heures, voire des jours.
A l'occasion de la journée mondiale de lutte contre le SIDA, Alexandra Calmy, responsable de l'unité VIH au sein des Hôpitaux Universitaires de Genève, explique pourquoi la lutte contre ce fléau est particulier cette année et évoque l'évolution de sa perception sociale.
Quelque 500 nouveaux cas d'infection au VIH ont été recensés en Suisse en 2016. Un traitement méconnu suscite l'espoir des milieux de la prévention: la Prep. Une pilule efficace, mais chère et qui reste marginale en Suisse.
L'Office fédéral de la santé publique (OFSP) repart en campagne contre les infections sexuellement transmissibles (MST) face à la hausse des cas, notamment de syphilis, de chlamydiose ou de gonorrhée.
La première "rage room" de Suisse propose de se défouler en brisant de vieux objets à coups de marteau ou de batte de baseball. Inédit en Suisse, le concept fait déjà fureur ailleurs dans le monde.
Pour sensibiliser les consommateurs aux déchets plastiques, des militants de Greenpeace ont proposé aux clients de la Migros de Pully de récupérer leurs emballages. L'action a été admise par le distributeur.
La gauche n'est pas complètement unie pour le 2e tour de l'élection au Conseil d’Etat.
En Asie du Sud-Est, les Badjaos, surnommés "nomades des mers", plongent en apnée pour chercher leur nourriture. A force, leur corps et leur génome se sont modifiés.
Maitriser l’enfer d’une maladie psychique et en faire quelque chose pour se reconstruire en aidant ceux qui en sont encore prisonniers, c’est un défi improbable devenu une réalité. Quelles sont les espoirs mais aussi les limites d’une telle approche ?