Le système digestif est au coeur d'une exposition qui ouvrira demain au Musée de la main.
Le roman 1984 de George Orwell s'offre une deuxième jeunesse en BD, avec cinq adaptations
Débat entre Kaspar Loeb, ancien directeur général de l’agence de publicité Saatchi et Saatchi, Hervé Devanthéry, publicitaire à Lausanne, et Stéphanie Pahud, linguiste et spécialiste de l’étude de la rhétorique publicitaire.
Les réseaux sociaux comme Facebook, Twitter ou encore Instagram, influencent de plus en plus nos opinions. C'est ce que confirme le monitoring des médias suisses publié par l'Office fédéral de la communication. L'étude montre notamment que les réseaux sociaux influencent davantage les Romands que les Alémaniques.
Le patron de Facebook Mark Zuckerberg a dévoilé fin juin ses mesures pour protéger le processus démocratique des élections américaines, qui auront lieu cet automne. Après les critiques suite à la campagne de 2016, il s'agit d'un enjeu majeur pour le réseau social.
Né dans les coins sombres dʹinternet, le mouvement conspirationniste pro-Trump QAnon, est devenu en seulement trois ans une idéologie qui fait désormais partie de la culture populaire. Les fans ont massivement investi Facebook, Twitter ou encore Instagram et savent utiliser les codes des plateformes sociales pour élargir leur influence.
Grégory Quin évoque l’attachement des Suisses au ski.
La Suisse est la lanterne rouge des aides versées aux entreprises en difficulté à cause du Covid-19. Quasi aucun pays ne paye si peu les PME frappées par une fermeture. C'est ce que montrent les derniers chiffres du FMI.
Pour analyser les prédispositions génétiques à certaines maladies, il faut comparer des milliers de génomes humains entre eux. Ces quantités de données demandent des efforts de calcul énormes qui coûtent très cher. Une équipe de lʹInstitut suisse de bio-informatique et de lʹUniversité de Lausanne vient de développer un logiciel pour faire ces analyses à moindre coût.
Patrick Michel, médecin-chef du Centre cérébrovasculaire du Centre hospitalier universitaire vaudois est spécialiste des accidents vasculaires cérébraux (AVC), une affection qui frappe une personne toutes les trente minutes en Suisse, avec le plus souvent des séquelles importantes.
La propagation semble plus rapide: "C'est l'accélération: on pourrait tout à fait avoir une troisième vague qui serait très importante et qui serait difficile à contrôler", avance la professeure Valérie d'Acremont.
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