Dans cette période d'incertitude, les fake news pullulent partout sur internet.
Depuis lʹapparition de la pandémie, lʹidée dʹune vérité commune, étayée par les faits, semble sʹeffriter de plus en plus. Trente pour cent des Suisses accréditeraient la thèse du coronavirus développé en laboratoire. Les théories du complot fleurissent: la parole scientifique, politique ou médiatique est considérée comme mensongère par une partie de la population.
Quelles différences entre diffamation, calomnie et injure? Pourquoi un média publie-t-il le nom de quelques protagonistes, mais pas celui dʹautres? A quelles règles déontologiques sont soumis journalistes et médias dans ce domaine?
Après de mois de pandémie, les théories du complot fleurissent sur internet. Les scientifiques en font les frais.
Entre pandémie et élections américaines, les exemples de désinformation - ou de Fake News - qui circulent en grande partie sur les réseaux sociaux ne manquent pas. Et parfois ces articles visent même à escroquer, comme une fausse interview de la star suisse du tennis Roger Federer pour promouvoir des investissements en ligne. Mais comment repérer ces articles frauduleux?
Après le boycott de Facebook par les grands annonceurs suite au refus de la plateforme de modérer les contenus haineux du président Trump, cʹest au tour de (certains) médias dʹemboîter le pas. Situation inédite, le groupe de presse néo-zélandais Stuff rejoint ce mouvement de fronde par souci dʹéthique. Et si les médias renonçaient à Facebook et investissaient dans leurs propres vecteurs numériques? Ce scénario est-il envisageable?
Dans le cadre de l’IMI (Initiative for Media Innovation), consortium dont fait partie la SSR, des chercheurs des universités de Neuchâtel et Genève lancent une enquête sur la manière de s’informer des Suisses durant la crise sanitaire du coronavirus, sur leur rapport aux médias et leur degré de confiance dans les institutions suisses.
Si vous portez un masque, il est important que vous sachiez l'utiliser et l'éliminer correctement. Comment mettre, utiliser, enlever et éliminer un masque.
Depuis plusieurs semaines, entre le confinement, la peur d'attraper le virus, les scénarios catastrophes véhiculés par la pandémie et la distanciation sociale, notre cerveau passe par toutes sortes d'émotions.
Débat entre Thierry Herman, professeur de rhétorique et d'analyse du discours aux Universités de Neuchâtel et de Lausanne, Daniel Warner, politologue, spécialiste des Etats-Unis, Ellen Hertz, professeur d'ethnologie à l'Université de Neuchâtel et citoyenne américaine, démocrate et Marc Fuhrmann, membre du Parti républicain.
Avec l'augmentation des températures la chance que les lacs gèlent se réduit.
Petits meurtres entre amis, disparitions mystérieuses, sévices inimaginables, animaux difformes, vraies légendes urbaines ou phénomènes naturels étranges...Notre curiosité est attisée par ce court-circuit du quotidien qu'est le fait divers. Quelle est cette part d'ombre qui semble nous habiter toutes et tous? Comment raconter dignement des histoires effrayantes ou sordides?
Nous avons quelques questions à vous poser, pour comprendre les besoins de nos visiteurs. Ce court questionnaire prend moins de deux minutes. Votre participation nous aidera beaucoup !