Grégory Quin évoque l’attachement des Suisses au ski.
Dans un geste inédit dans l'histoire de la Ligue des champions, les joueurs du PSG et du Basaksehir ont quitté la pelouse en cours de match. Ils ont ainsi protesté contre des propos racistes supposés du 4e arbitre.
Débat entre Martial Saugy, expert antidopage et ancien directeur du Laboratoire suisse d’analyse antidopage, Fabien Ohl, professeur en sociologie du sport à l’UNIL, spécialiste du dopage et du cyclisme et Patrick Délétroz, journaliste RTS, suiveur du Tour et autres compétitions depuis près de 20 ans.
Impliquée dans un scandale de dopage, la Russie est bannie des compétitions internationales pour quatre ans.
L'Agence mondiale antidopage (AMA) a exclu la Russie pour 4 ans des Jeux olympiques et de tout championnat du monde, les plus lourdes sanctions de son histoire, pour punir Moscou d'avoir récidivé dans la triche en falsifiant des données de contrôles.
En Suisse, les campagnes de vaccination se poursuivent, avec le premier objectif de protéger les personnes vulnérables, afin de réduire le nombre de cas graves et de décès.
Des tests de masse se sont déroulés ce week-end dans le canton des Grisons. Les tests ont révélé environ 1% de cas positifs. "Ce petit chiffre, c'est un peu chercher une aiguille dans une botte de foin. C'est à peu près une personne sur 100, alors qu'on arrive à une personne sur sept avec le système habituel des gens symptomatiques. C'est une énorme énergie pour attraper très peu de gens, dont la plupart ne sont pas forcément infectieux car ils ont des toutes petites charges virales".
En pleine polémique politique entre la Confédération et les cantons sur de nouvelles mesures à prendre face à la situation pandémique, le professeur Didier Pittet replace le débat dans son cadre sanitaire. Gestes barrière et tests sont les seules options, dit-il.
Pour analyser les prédispositions génétiques à certaines maladies, il faut comparer des milliers de génomes humains entre eux. Ces quantités de données demandent des efforts de calcul énormes qui coûtent très cher. Une équipe de lʹInstitut suisse de bio-informatique et de lʹUniversité de Lausanne vient de développer un logiciel pour faire ces analyses à moindre coût.
Patrick Michel, médecin-chef du Centre cérébrovasculaire du Centre hospitalier universitaire vaudois est spécialiste des accidents vasculaires cérébraux (AVC), une affection qui frappe une personne toutes les trente minutes en Suisse, avec le plus souvent des séquelles importantes.
La propagation semble plus rapide: "C'est l'accélération: on pourrait tout à fait avoir une troisième vague qui serait très importante et qui serait difficile à contrôler", avance la professeure Valérie d'Acremont.
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