L’inversion des températures en présence de brouillard ou les poussières sahariennes favorisent la présence de particules fines dans l’air. Leur haute concentration peut aggraver les conséquences de la maladie COVID-19.
En matière de pollution des cours d'eau, les pics de concentration de courte durée sont largement sous-estimés. Des chercheurs de lʹInstitut fédéral suisse des sciences et technologies de lʹeau (EAWAG), en analysant diverses sources de manière quasi continue, ont obtenu des taux de pollution par les pesticides jusquʹà 170 fois plus importants que les concentrations moyennes analysées de manière traditionnelle.
La présence de particules fines dans les brouillards automnaux peut amplifier les vagues de contamination du SARS-CoV-2.
Comment le canton de Genève veut désengorger la ville et développer la mobilité douce.
Des objets, des êtres, des phénomènes qui révèlent lʹintimité du monde qui nous entoure. Autant de territoires invisibles auxquels la science est régulièrement confrontée.
Générée par le trafic routier, la quantité de dioxyde d’azote a chuté de 50 % depuis le confinement, dans le Genevois et la vallée de l’Arve.
Dans le canton de Genève la moitié des stations de mesures ont été supprimées. Des citoyens se mobilisent pour un meilleur suivi.
On en trouve de plus en plus par terre, sur les trottoirs ou même les plages... Les masques chirurgicaux utilisés pour lutter contre la propagation du coronavirus sont fabriqués en polypropylène, c’est-à-dire en plastique. Doit on se préparer à une gigantesque pollution? Et comment y remédier?
Les désinfectants sont partout. On les étale sur nos mains, on les répand sur les sols ou les poignées de porte. Et bien souvent, ils finissent dans les eaux usées. Avec quelles conséquences pour l’environnement? Et pour notre santé?
Nous avons quelques questions à vous poser, pour comprendre les besoins de nos visiteurs. Ce court questionnaire prend moins de deux minutes. Votre participation nous aidera beaucoup !